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Historique de l'organisme de formation
Un accompagnement continu et une communauté engagée Notre formation va au-delà de simples sessions d’enseignement, nous offrons un support continu et un accès à une communauté dynamique de professionnels.
À propos de cette organisation
Siège social: MONTPELLIER
Formations proposées par cette organisation
13
OLD K-Advance Genou présentiel
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
04 - K-Advance Genou présentiel Saint-Cyr-sur-Loire
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
K-Advance Genou présentiel Lille
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
03 - K-Advance Genou présentiel Montpellier
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
K-Start e-learning
K-START : Optimiser la récupération et le retour au sport après chirurgie du LCA
La phase postopératoire après une plastie du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante pour assurer la qualité des résultats et une reprise sportive sécurisée. Elle s’étend généralement sur 6 mois, depuis la convalescence postopératoire immédiate jusqu’à la reprise progressive de l’activité physique et sportive.
Si le retour au sport s’appuie encore largement sur le délai postopératoire, l’examen clinique et l’évaluation laximétrique, il est aujourd’hui reconnu que ces critères seuls ne suffisent plus pour garantir un genou stable et performant.
Les recommandations actuelles soulignent l’importance d’intégrer :
• Une évaluation objective de la force musculaire via un bilan isocinétique, permettant d’identifier d’éventuels déficits entre le membre opéré et le membre sain, ainsi que des déséquilibres entre quadriceps et ischio-jambiers ;
• Une analyse complète du contrôle neuromusculaire, reposant sur des tests reproductibles tels que :
o Les hop tests pour la puissance et la stabilité
o Les landing tests pour le contrôle des appuis
o Les tests d’endurance musculaire
o L’évaluation de la vitesse avec changements de direction
En intégrant ces mesures objectives au processus de rééducation, il devient possible d’obtenir une vision précise et globale de la récupération fonctionnelle, permettant ainsi une décision éclairée et sécurisée pour le retour au sport.
À distance
À partir de 199€ HT
2 heures
Action de formation
05 - K-Advance Genou présentiel Santes (Lille)
La gestion post traumatique du genou avec rupture du LCA reste une étape charnière. Elle peut s’orienter vers une chirurgie réparatrice ou pas en fonction de plusieurs critères subjectifs et objectifs. Elle nécessitera une rééducation fonctionnelle qui pourra être l’alternative suite à la rupture ou une rééducation pré opératoire qui conditionnera la rééducation post opératoire.
La gestion postopératoire reste une étape charnière dans la qualité du résultat des plasties du LCA. Elle s’étend sur une période de 9 mois depuis la convalescence postopératoire immédiate jusqu’à la reprise l’activité physique et/ou sportive.
La progression de la rééducation se fera sur des critères temporels mais aussi et surtout sous forme d’un continuum basé sur des évaluations objectives analytiques et fonctionnelles La décision de reprise d’activité repose bien entendu sur un examen clinique précis et une évaluation laximétrique. Néanmoins, il est désormais nécessaire de s’appuyer sur d’autres critères indispensables à la restauration d’un genou stable et sûr. Une mesure de force à l’aide d’un bilan iso cinétique permet de détecter un déficit entre le membre opéré et le membre sain et/ou un déséquilibre entre le quadriceps et les ischiosjambiers. Il convient désormais d’ajouter une évaluation du contrôle neuromusculaire au bilan final des patients opérés et non opérés. Celui-ci repose sur une série de tests objectifs reproductibles tels que les hop tests, les landing tests, l’endurance musculaire, le Counter mouvement jump, le drop jump, les changements de direction.
Dans ce cadre, l’approche moderne de la rééducation intègre également la dimension d’autonomisation des patients.
À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, il est essentiel de fixer des objectifs clairs et réalistes qui guideront la progression du patient. Ces objectifs doivent être traduits en un programme d’auto-rééducation personnalisé, incluant des exercices adaptés aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le kinésithérapeute joue un rôle clé en testant régulièrement le patient pour ajuster ces objectifs et valider les progrès accomplis. Ainsi, le patient repart non seulement avec une compréhension claire de son état, mais également avec un programme structuré lui permettant de poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
K-Advance Genou présentiel
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
K-Advance Genou présentiel La Rochelle
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
Coaching K-Advance
Tests d'évaluations des capacités fonctionnelles et rééducation fonctionnel adaptés du membre inférieur
La gestion post traumatique du genou avec rupture du LCA reste une étape charnière. Elle peut s’orienter vers une chirurgie réparatrice ou pas en fonction de plusieurs critères subjectifs et objectifs. Elle nécessitera une rééducation fonctionnelle qui pourra être l’alternative suite à la rupture ou une rééducation pré opératoire qui conditionnera la rééducation post opératoire. La gestion postopératoire reste une étape charnière dans la qualité du résultat des plasties du LCA. Elle s’étend sur une période de 9 mois depuis la convalescence postopératoire immédiate jusqu’à la reprise l’activité physique et/ou sportive. La progression de la rééducation se fera sur des critères temporels mais aussi et surtout sous forme d’un continuum basé sur des évaluations objectives analytiques et fonctionnelles La décision de reprise d’activité repose bien entendu sur un examen clinique précis et une
évaluation laximétrique. Néanmoins, il est désormais nécessaire de s’appuyer sur d’autres critères indispensables à la restauration d’un genou stable et sûr. Une mesure de force à l’aide d’un bilan iso cinétique permet de détecter un déficit entre le membre opéré et le membre sain et/ou un déséquilibre entre le quadriceps et les ischiosjambiers. Il convient désormais d’ajouter une évaluation du contrôle neuromusculaire au bilan final des
patients opérés et non opérés. Celui-ci repose sur une série de tests objectifs reproductibles tels que les hop tests, les landing tests, l’endurance musculaire, le Counter mouvement jump, le drop jump, les changements de direction.
L’organisme de formation et son partenaire K-Invent pourront vous recontacter par voie électronique et téléphonique afin de vous partager des contenus promotionnels susceptibles de vous intéresser. A tout moment, vous pourrez vous opposer à ces communications. Pour en savoir plus sur l’utilisation de vos données personnelles et vos droits [un lien hypertexte vers la politique de protection de protection des données personnelles est disponible en bas de page de préinscription ou via https://reathletik.org/politique-de-confidentialite/ ].
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
01 - K-Advance Genou présentiel Ascain
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 580€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation
S-Start e-learning
S-START : Optimiser la gestion postopératoire après chirurgie de l’instabilité de l’épaule
La prise en charge des pathologies neuro-musculosquelettiques ne s’arrête pas au bloc opératoire. La phase postopératoire constitue une étape clé pour garantir la qualité des résultats, limiter les récidives sur le membre opéré et prévenir les blessures par compensation.
Dans le cadre d’une chirurgie pour instabilité de l’épaule, cette période s’étend généralement sur 4 mois et demi, de la convalescence immédiate jusqu’à la reprise progressive de l’activité physique ou sportive.
Traditionnellement, la décision de retour au sport reposait principalement sur le délai postopératoire, l’examen clinique et l’évaluation des amplitudes articulaires. Si ces éléments restent essentiels, les connaissances actuelles soulignent l’importance d’intégrer de nouveaux critères d’évaluation pour garantir une épaule à la fois stable et fonctionnelle.
En plus des amplitudes articulaires permettant d’identifier les éventuels déséquilibres entre le membre opéré et le membre sain, il est désormais indispensable de mesurer le contrôle neuromusculaire grâce à des tests objectifs, fiables et reproductibles, tels que :
La force maximale isométrique de la coiffe des rotateurs
La stabilité des membres supérieurs
La puissance, l’explosivité et l’endurance musculaire
Ces évaluations complètes offrent une vision globale et précise de la récupération, facilitant une reprise sécurisée et performante de l’activité physique ou sportive.
À distance
À partir de 199€ HT
2 heures
Action de formation
02 - K-Advance Genou présentiel Suisse Yverdon
La prise en charge post-traumatique du genou à la suite d’une rupture du ligament croisé antérieur (LCA) constitue une étape déterminante dans le parcours de soin. Selon différents critères à la fois subjectifs et objectifs, elle peut aboutir à une intervention chirurgicale réparatrice ou non. Dans tous les cas, une rééducation fonctionnelle s’impose : soit comme alternative à la chirurgie, soit en amont pour en optimiser les suites post-opératoires.
La phase postopératoire est elle-même décisive dans la qualité du résultat, notamment après une plastie du LCA. Elle s’étale généralement sur une durée de neuf mois, de la convalescence immédiate à la reprise progressive d’une activité physique et/ou sportive. La rééducation suit un processus évolutif, fondé non seulement sur des repères temporels, mais surtout sur une logique de progression continue appuyée par des évaluations objectives, tant analytiques que fonctionnelles.
La décision de reprise d’activité repose sur un examen clinique rigoureux et une évaluation laximétrique, mais elle doit désormais intégrer d’autres critères essentiels à la restauration d’un genou stable et sécurisé. Parmi ceux-ci, l’analyse isocinétique permet d’identifier des déficits de force entre les membres ou des déséquilibres musculaires, notamment entre les quadriceps et les ischio-jambiers. À cela s’ajoute une évaluation du contrôle neuromusculaire à l’aide de tests reproductibles tels que les hop tests, landing tests, tests d’endurance musculaire, Counter Movement Jump, Drop Jump ou encore les tests de changements de direction.
Dans cette perspective, l’approche actuelle de la rééducation s’inscrit également dans une démarche d’autonomisation du patient. À partir des bilans réalisés par le kinésithérapeute, des objectifs clairs et réalistes sont définis, permettant de structurer un programme d’auto-rééducation personnalisé, adapté aux capacités et aux besoins spécifiques du patient. Le suivi régulier par le professionnel de santé permet d’ajuster ces objectifs en fonction des progrès observés. Le patient repart ainsi avec une compréhension précise de son état et un plan d’action structuré pour poursuivre sa rééducation en toute autonomie.
Lieux sur devis
À partir de 600€ HT
2 jours | 14 heures
Action de formation